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Mes Tops 5 du Sporting

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Panenka

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En cette période de pénurie de joutes sportives, d'indifférence latente et d'absence d'enflammades dans les débats peut être à cause d'une division en bois, je me retourne vers la nostalgie faite de souvenirs et d'heures passées sur ces putains de gradins de BR et de Mayol, voire d'endroits estrangers où même en me perdant je ne retomberai jamais (Gueugnon, Sochaux ...).

Depuis un moment j’avais envie de vous faire partager mes joueurs toulonnais préférés. Les voici sous forme de classements par poste ou thème, classements objectifs en termes de "ballon" (je pense ...), mais avec tout de même une touche de subjectivité en fonction des critères "humain" et situationnel.

Ces classements ne contenteront pas les très anciens ni les très jeunes, ne demande pas à tendre vers le consensus, juste à se remémorer quelques moments de gloire et surtout quelques "figures" qui ont jalonné notre route de supporter.

Gardiens :

1/ Joseph-Antoine Bell : Pour moi le gardien le plus complet et le plus charismatique que le Sporting ait eu. Excellent sur sa ligne comme dans les airs, il avait l’agilité d’un félin. Quelle intelligence et quelle bonne humeur !

2/ Pascal Olméta : Tout aussi fou qu’excellent, une présence remarquable, il en imposait dans les airs comme personne. Ses montées de malade et ses dribbles farfelus feraient pester plus d’un entraîneur aujourd’hui. Mais qu’est-ce-que ça manque des joueurs encore … joueurs, à l’âme de gamins !

3/ Pedro Viscaïno : Sobriété, intelligence le caractérisaient. Tout l’inverse d’Olméta en terme de personnalité, c’est clair qu’il n’aurait pas fait un disque ... Très bon sur sa ligne il a pris part intégrante à notre montée vers les sommets.

4/ Luc Borrelli : Disponibilité et gentillesse, sans oublier un sens du professionnalisme et du sacrifice aiguisé. Pas le meilleur relanceur certes, mais une unanimité humaine rare lors de sa disparition. Demandez à Joël Bats et Grégory Coupet !

5/ Marc Duval: pour l’empreinte qu’il a laissée à Toulon lui et son père.

Buteurs :

1/ Délio Onnis : « The » buteur. Simplicité, intelligence, un sens du placement et du but hors norme qui le rend intemporel. On ne claque pas 299 buts en L1 par hasard. Le renard des surfaces, qui ne roulait qu’en « ciao », est un des deux buteurs argentins qui a marqué le championnat de France (avec Carlos Bianchi).

2/ Victor Ramos : Digne héritier de Délio, avait lui aussi un sens du but hors du commun. Une petite année en azur et or et un titre de meilleur buteur de L1 à la clef, j’aurais bien aimé le voir à l’œuvre un peu plus.

3/ Milos Bursac : Moins renard des surface que les premiers nommés mais buteur quand même. Avait en plus ce toucher de balle que beaucoup de yougos possédaient. Il caressait le ballon plutôt qu’il ne le frappait.

4/ Arthur Moses : Une présence athlétique impressionnante. Il a allié remarquablement la puissance et la technique, pour nos souvenirs les plus récents au haut niveau à Toulon.

5/ Mesut Bilici = Jean-Noël Cabezas : Chacun dans son style, a été une pointe précieuse dans l’attaque toulonnaise. Décriés, pas toujours spectaculaires, mais souvent buteurs et décisifs, ils restent deux avant-centre qu’il fallait se farcir … et deux personnes attachantes.

Arrières centraux :

1/ Roger Mendy : La classe à l’état pur, une facilité déconcertante tant dans le jeu aérien que dans les duels. Savait tacler avec élégance et relancer tel un milieu de terrain. Un des rares toulonnais à s’exiler vers les calcio.

2/ Bernard Casoni : Défensivement il savait tout faire, intraitable dans sa zone, peut d’avant-centre lui ont posé problème. Arrivé sur un lit d’hôpital chez nous, certains l'annoncé mort pour le foot. On connait la suite ...

3/ Antoine Kombouare : Là encore, aucune faille défensivement, avec un jeu de tête remarquable. Une grinta et une aversion de la défaite énorme. M’a impressionné les seuls 6 mois qu’il a passés chez nous. Est parti et a gardé son sale caractère de « mauvais joueur » … et « entraineur ».

4/ Rolland Courbis : Nul ne savait manier l’intimidation comme lui. Tantôt avec les paroles, tantôt avec les fautes (n’est-ce-pas Lemoult ?), mais il avait de grandes qualités footballistiques malgré tout. Le « capitaine » par excellence, celui pour qui on va au feu grâce à son charisme naturel. Un meneur d’hommes hors pair.

5/ Mickaël Rebecq : Défenseur complet, il a été un des symboles du renouveau du Sporting avec en point d’orgue sa réponse à Didier Tholot pour une égalisation 2-2 avant d’éliminer le Bordeaux de Zidane.

Bad boys :

1/ Eric Vicente : Défenseur rugueux et dangereux. A filé des coups tout au long de sa carrière. Il finira celle-ci dans un match amateur de seconde zone en blessant grièvement un joueur adverse.

2/ Bernard Boissier : Un fou tendre. Défenseur rugueux capable un minimum de bien défendre ce qui lui vaudra d’être le sélectionné en bleu ayant le moins joué sous le maillot de l’équipe de France (1 sélection de 2 minutes). La maxime « le ballon passe mais pas l’homme » ne peut pas avoir meilleur représentant.

3/ Luigi Alfano : Le battant dans toute sa splendeur. Cet amoureux du club a atteint un niveau que lui-même ne soupçonnait pas. Arrivé de Saint-Cyr avec sa gueule et son jeu de tête, il aura représenté les valeurs toulonnaises sur tous les terrains de France. Amoureux des duels, a martyrisé un paquet de ballons et accessoirement quelques nuques adverses avec ses coups de tronche ravageurs.

4/ Régis Fontani : Le « furieux » qu’il vaut mieux avoir avec soi … surtout lors de ses débuts. A bâti sa carrière sur l’intimidation. Une légende dit qu’il aurait impressionné et mis à l’amende le vieux lion de Vescovatto, Charles Orlanducci, à Furiani même. Peu de match en équipe fanion, mais on voyait que ça bouillait sous la cocotte.

5/ Djamel Tlemçani : Arrivé de Rouen avec son bagage technique, il est reparti la valise pleine de mois de suspension après avoir coursé puis agressé un joueur adverse à Mayol. L’oncle d’Aziz (je crois) aura fait plus voir son côté sombre que son élégance technique entrevue le temps de quelques matches.

Virtuoses :

1/ Christian Dalger : S’il fallait n’en citer qu’un ce serait celui-là ! Sortant d’une coupe du Monde avec l’équipe de France, puis d’1 saison dans les premiers avec Monaco, il signe à Toulon alors rétrogradé en D3, par amour pour sa ville d’enfance ... tout simplement. Avec encore un niveau d’international, il s’est balladé à coup de dribbles, passes décisives, transversales, buts et coup-francs (ah celui de la dernière minute à Gueugnon pour une victoire 4-3 l’année de la montée !) pour nous amener au graal un soir de mai 83. Notre Platini à nous en somme !

2/ Gÿorgy Bognar : Digne héritier des virtuoses hongrois, il illumina Mayol par sa technique de dribbles et de passes, plus spécialement dans les périmètres restreints. Il caressait le ballon et voyait les solutions en un quart de seconde. Arrivé peu après la coupe du monde 86, il totalisera plus d’une cinquantaine de sélections pour l’équipe hongroise.

3/ Leonardo Rodriguez : Arrivé tel un OVNI dans le ciel toulonnais, prêté par Marseille en début de saison, il claque quasiment 1 match sur 2. Auteur de coups de génie mémorables (ah ce but sur retourné !), cet international argentin (coupe du monde 94) aura été LA star étrangère qui foulera la pelouse de Mayol. Né à Lanus, c’est nous qui avons eu du cul de l’avoir et le voir !

4/ David Ginola : Même s’il aura été largement meilleur à Paris que chez nous, ce potentiel hors norme de dribbleur le long de la touche nous avons pu en profiter pleinement. Véritable funambule sur son côté gauche, il aura martyrisé un paquet de latéraux. Ne se mettait pas au service du groupe et comme disait Courbis « était capable de se recoiffer pendant le match » … quel melon ! Mais quel talent !

5/ Ferreri = Paga = Henry : Chacun dans leur style ont marqué le Sporting. Ferreri pour son habileté à mener le jeu et son implication sous nos couleurs, Paganelli pour ses dribbles, coup-francs (demandez à Gaëtan Huard ?) et sa bonne humeur, Joël Henry pour sa vitesse et sa technique, malheureusement gâchées par ses sorties nocturnes et donc souvent ses blessures.

Récupérateurs :

1/ Bernard Pardo : L’aboyeur indispensable dans un club … puis en équipe de France sous l’ère Platini. Inlassable travailleur, ratisseur, n’avait pas son semblable pour rameuter les troupes et montrer l’exemple en termes d’engagement. Savait aussi se muer en buteur (avait une belle frappe), pour preuve sa trentaine de buts en D1. Une grinta incroyable alliée à une santé qui l’a quitté quelques années plus tard. Là encore, ses virées nocturnes n’y sont pas pour rien.

2/ Marcel Dib : Dans le même style que Pardo qui lui a succédé, Dib aura été le milieu relayeur qui manquait au club depuis des années. En provenance du 1er Canton, il sera un des artisans de la montée en D1, pour plus tard se retrouver, lui aussi, en équipe de France.

3/ Martin N’Kouka : Le petit numéro 6 qui ratisse, ratisse inlassablement. Encore un des artisans de la montée. Forma un duo de milieux performant avec Dib, permettant à Dalger d’orchestrer dans un fauteuil. Sa discrétion et sa modestie l’ont empêché d’aller voir ailleurs, dans un club plus huppé, comme Nantes par exemple, qui le courtisa longtemps.

4/ Peter Bosz : Pas spectaculaire sur un terrain mais avait le sens du devoir et du travail bien fait, un travail obscur mais important de colmatage et de premier rideau défensif. Fera plus tard les beaux jours de Feyenoord et glana même quelques sélections chez les « oranges ».

5/ Tigana = Brando : Là encore, plus performants après leur départ qu’à Toulon. Ils avaient laissé entrevoir de belles possibilités tout au long de leurs matches joués à BR pour l’un et à Mayol pour l’autre.

Complets :

Au-delà des stéréotypes de joueurs, selon leur poste ou leur point-fort ou leur mentalité, il y a les joueurs complets. Ceux qui sont bons partout et qui du coup sont hors normes. Qui sont intelligents. Qui jouent souvent au milieu et qui finissent souvent derrière. Qui sont capables de frapper de loin et de claquer de la tronche. Qui savent autant tacler et gratter un ballon que tirer un coup-franc.

En France on pourrait classer Laurent Blanc dans cette catégorie, mais aussi Franck Sauzée. D’autres certainement mais ils ne me viennent pas à l’esprit, mais Yohann Gourcuff sur son avant-dernière saison bordelaise en prenait le chemin.

A Toulon, trois me viennent à l’esprit dont deux sont tirés par les cheveux je le conçois : Patrick Storaï plus spécialement pour sa technique, Thierry Pfister pour sa vélocité certes passagère hélas et Jérôme Lemoigne, qui lui répond à tous les critères précédemment cités. C’était notre dernière très grosse perte et perle, celle que l’on espère un jour revoir sous nos couleurs quelle que soit la division.

A venir :

Les latéraux :

1/ René Marsiglia

2/ Philippe Thys

3/ Bernard Boissier et Cédric Charlet

4/ Jean-Martin Fall et Sébastien Gimenez

5/ Patrice Ferri

Les entraîneurs :

1/ Rolland Courbis

2/ Marcel Duval

3/ Jean-Louis Garcia

4/ Luigi Alfano

5/ Guy David

Un repreneur et rien d'autre !

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super sujet, très complet, difficile de faire un classement et de comparer des joueurs entre toutes les divisions que nous avons connues.

j'aimerai citer en plus des gardiens déja présents Franck Zingaro, Jacques Songo'o et le plus petit gardien de l'histoire du foot avec Jorge Campos : Jacky Dervin

dans les bad boys je rajouterai Vernet, Vanverberghe, Falcucci, la famille Rabat et Thollon voire Meyrieu,

en joueurs complet Verdeilhan et Boronad (bon en milieu def) ont marqué le club ces dernières années

et en défense centrale une petite mention à Zemzemi et Soulas

et pour finir en mec capable de se recoiffer pendant une aile de pigeon c'est biensûr l'ami Firquet qui techniquement est plutôt pas mal accessoirement.

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super sujet, très complet, difficile de faire un classement et de comparer des joueurs entre toutes les divisions que nous avons connues.

j'aimerai citer en plus des gardiens déja présents Franck Zingaro, Jacques Songo'o et le plus petit gardien de l'histoire du foot avec Jorge Campos : Jacky Dervin

Songo'o est 6ème pour moi même s'il était meilleur que Pédro ou Luc, Pédro ... c'est Pédro et Luc ne peut pas ne pas être dans ce top 5.

Zingaro comme Bérenguier ont fait penché eux-mêmes la balance du mauvais côté. Courbis aurait dû être dans ce même cas, mais :

1- j'y arrive pas

2- bcp de joueurs de ce classement ne seraient pas présents s'il n'avait pas été le vrai-faux-agent qu'il fût.

dans les bad boys je rajouterai Vernet, Vanverberghe, Falcucci, la famille Rabat et Thollon voire Meyrieu,.

Falcucci aussi je le place 6, il aurait du être devant Tlemçani certes, mais cet épisode de l'expulsion de Tlemçani m'a réellement marqué. Thierry Rabat et Meyrieu viennent pas loin en effet mais il fallait les énerver, les autres c'était tout le temps. Le problème de Vanverbrghe est que je n'ai classé que ... des footballeurs !

en joueurs complet Verdeilhan et Boronad (bon en milieu def) ont marqué le club ces dernières années

Boronad c'est pas trop complet même s'il fait excellement ce qu'il sait faire. Verdelhan je prends dans les 5 en effet par rapport à ce que j'imagine du joueur complet tel que je l'ai décrit dans le paragraphe référent.

et en défense centrale une petite mention à Zemzemi et Soulas

Honte à moi, j'ai oublié Soulas, à classer en 5 un cran au-dessus de Micka.

et pour finir en mec capable de se recoiffer pendant une aile de pigeon c'est biensûr l'ami Firquet qui techniquement est plutôt pas mal accessoirement.

Dans la catégorie "Danse avec les stars" donc : 1- Ginola 2- Firquet 3-Uraï ...

Dans la catégorie "L'amour est dans le pré" : 1- Pascal Dupraz

Dans la catégorie "Le loft" : 1- Vélud 2-Nadji

Dans la catégorie "Incroyable talent" : 1-Mara

Un repreneur et rien d'autre !

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Panenka, le pauvre Mr N'kouka ne s'appelle pas Martine, en tout cas lui je le met dans la catégorie "celui qui m'a fait aimé le football" :)

Merde ... c'est rectifié.

Boumillat il est unique, c'est le seul entraineur-joueur qu'on a eu non ? Donc 1er ... ou dernier selon les goûts de la catégorie Entraineurs-joueurs.

Un repreneur et rien d'autre !

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Dalger n'a pas été entraineur joeur un peu, la fin de la 1ère année de d1 ?

Je vais peut être sortir une bêtise mais il me semble que dès qu'il reprend la main comme entraineur, il arrête de jouer (et c'est d'ailleurs pas en fin de saison si je ne m'abuse).

Les "Robert Chapatte" du Sporting nous corrigeront.

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trés bon sujet Panenka,en souvenir aussi!!!

comme gardien il y a eu ce gardien pas trés grand ,il venait de Lille je pense.."mottet " je crois!!

on a eu aussi ce joueur qui m'a pas marqué à part son nom "john lammers" je pense que c'était un attaquant du méme calibre que "Dominguez" on en a eu aussi à l'époque des spécimens rare!!!

SPORTING..FAITES NOUS RÊVER !!!!!!!!!

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ÉNORME SUJET!!!!! Ça fait + de 45 mns que je rÉflÉchis et fait travailler ma mÉmoire...allez je me lance!

Gardiens :

1) Bell (une seule annÉe, mais la classe à l'État pur)

2) Borrelli (MONSIEUR Borrelli!)

3) Pansier (Sobre, prÉcis, excellent sur sa ligne)

4) Songo'o (Très bon...avec un bÉmol pour ses dÉgagements directs en Roosevelt)

5) Ettore (Sobre et rassurant)

Buteurs :

1) Bursac (E N O R M E)

2) Moses (Alors lui...je l'ai tout simplement badÉ comme un gosse de 5 ans)

3) Onnis (LE buteur...tout simplement)

4) Bilici (Incroyablement efficace et toujours bien placÉ)

5) Lammers (Je dois être le seul ici, mais je garde un très bon souvenir de lui et de son entente avec Fargeon...que je classe 6ème)

DÉfenseurs centraux :

1) Mendy (Et dire que tous les blaireaux disaient que le meilleur dÉfenseur central de l'Époque Était cette pute de Mozer...Mendy : Monsieur Relance!)

2) Casoni (Rugueux, infatigable et toujours bien placÉ)

3) Alfano (MONSIEUR Alfano!)

4) Pean (Libero "à l'ancienne" que j'apprÉciais beaucoup)

5) Rebecq (Fragile physiquement mais très "propre" et prÉcis)

Virtuoses :

1) Bognar (L'ARTISTE)

2) Rodriguez (Il nous a fait rêver pendant 8 mois)

3) Dalger (MONSIEUR Dalger)

4) Vuksanovic (Degun s'en souvient je pense, mais je l'ai trouvÉ excellent lors de la saison qu'il a effectuÉ chez nous)

5) Ferreri (Il a portÉ l'Équipe à bous de bras pendant toute une saison)

RÉcupÉrateurs :

1) Pardo (Certes il jouait avec 2 kgs de coke dans chaque narine, mais quel abattage!!)

2) Bosz (Bidon quand il jouait libero, mais Énorme en 6)

3) Lemoigne (Quel joueur!)

4) Colinet (M'a vraiment impressionnÉ en National)

5) Dib (Il ne lâchait jamais rien)

LatÉraux :

1) Pfister (C'est bien simple, il Était à la fois latÉral gauche, milieu gauche et ailier gauche...ENORME!, et dire qu'une seule sÉlection en Espoirs franÇais l'a empêchÉ d’avoir une carrière internationale en Belgique)

2) Charlet (LE symbole du Sporting)

3) Fall (Progression Énorme en l'espace de 2/3 ans)

4) Gimenez (Excellent en dÉfense comme en phase offensive)

5) Thys (Rugueux et agressif comme on aime)

Entraineurs :

1) David

2) Garcia

3) Duval

4) Alfano

5) Cvetkovic

Je voudrais Également citer quelques joueurs qui m'ont marquÉ et qui ne sont pas loin des 5 premières places : Fargeon, Revelles, Mazzuchetti, Angibeaud, Soulas, Zemzemi, Emon.

Pour conclure, j'ajouterais mon top 5 des joueurs du Sporting :

1) Bognar

2) Bursac

3) Mendy

4) Rodriguez

5) Dalger

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Oui c'est ce que je pense, il n'a pas été entraineur-joueur.

Pour Ian, je n'ai pas classé Pfister en latéral car comme tu dis il était partout(à gauche) et faisait tout (tacler, dribbler, déborder, faire des transversales d'un autre monde ...). Pour moi on a eu un extra-terrestre pdt 6 mois. Après je ne sais pas s'il carburait au "pot belge", mais une activité comme ça laisse douter surtout quand on voit sa fin de carrière.

Pour Pansier, il s'est sorti lui-même du classement à mon goût (au niveau humain j'entends). Tout comme Cvetkovic et ses énormités tactiques de sa dernière saison.

Mon top 5 inter générationnel et poste :

1- Dalger

2- Mendy

3- Pardo

4- Bognar

5- Lemoigne pour faire un peu djeuns et parceque j'aime les joueurs complets, iiréprochables, intelligents et donc rares

Un repreneur et rien d'autre !

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vraiment énorme sujet, je me lance mais il faudrait une bonne demi journée de reflexion et de remémorisation :

gardiens :

1 Borrelli (l'homme, le joueur, l'esprit)

2 Bell (le meilleur)

3 Olmetta (la folie)

4) Songoo (la classe)

5) Etorre (grace à la médiocrité des autres, quand je lis certains noms je rêve, notamment Viscaino... no comment)

Latéraux :

1) Pfister (franchement, un phénomène, 3 joueurs en 1)

2) Boissier (qu'est qu'il a fait bander Mayol)

3) Fall (aurait du naitre quelques années avant)

4) Gimenez (c'est dire la faiblesse à ces postes lorsqu'on était en L1)

5) Thys (parce qu'il en faut 5)

Centraux :

1) Mendy (que j'aurais pu mettre 5 fois)

2) Casoni (que du bon)

3) Courbis (coup de coeur)

4) Alfano (Luigi c'est Luigi)

5) Soulas (coup de coeur aussi)

Récupérateurs :

1) Pardo (un battant comme on les aime)

2) Tigana (quel joueur)

3) Bosz (joueur exceptionnel à ce poste)

4) Dib (énorme combattant) Nkouka (barré par Dalger qui ne l'aimait pas trop)

5) Lemoigne (mentalité, combat, talent)

Offensifs :

1) Dalger (il a porté le club en L1 quasi tout seul)

2) Bognar (pas de mot pour décrire le talent de ce mec)

3) Ferreri (la classe)

4) Rodriguez (un magicien)

5) Boronad (pour son talent et sa mentalité, sa parole donnée, si on l'avait eu plus jeune il aurait enchanté br)

Attaquants :

1) Emon (Albert la classe)

2) Zahoui (nous a fait lever un paquet de fois)

3) Henri (du très bon mais hélas plein de rhum)

4) Meyrieu (que je préfère ici)

5) Flauto (super joueur)

Buteurs :

1) Delio (Monsieur Onnis, qu'on ne présente plus)

2) Bursac (quel hargneux)

3) Bilici (le niveau n'est pas le même mais bon...) Boubacar (comment ai je pu l'oublier ?)

4) Ramos (j'aimais bien ses déplacements)

5) Pineda (quelques buts et de l'envie) Lammers (un joueur que j'adorais même si l'efficacité n'était pas toujours au rendez vous)

Coaches :

1) Courbis (tactiquement le meilleur)

2) Garcia (gros travailleur)

3) ..... je m'arrête la... je souhaite à Luigi de venir à cette 3ème place

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Vizcaïno c'est aussi le côté humain, j'ai bien dit que les critères n'étaient pas que sportifs sinon Luc ne serait pas dans les 5. Mais quand même, l'année de la montée Pédro a été excellent. Comme j'ai du voir 25 matches, je pense qu'il y a aussi l'aspect sportif dans mon classement ... et la relative faiblesse des autres à ce niveau.

Pour ma part Lemoigne est plus qu'un récupérateur comme vous le classez. Et idem pour Pfister qui était plus qu'un latéral : peut être le 1er joueur de couloir à la Roberto Carlos et sur les 6 premiers mois entrevus je n'hésite pas à oser la comparaison.

Pour Lammers vous m'étonnez, il a dû claquer 5 buts en 1 voire 2 saisons et il est dans le top 5 des buteurs. Pour ma part j'ai hésité à y mettre un certain Saar Boubacar.

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pedro dans les buts c'était comme benedet à l'aile gauche, il allait vite tu avais de l'espoir mais il terminait dans le grillage.....

Arrête, 17 buts encaissés l'année de la montée (2ème perf nationale de tous les temps), même si devant t'avais la défense qui allait bien, il ne s'est jamasi troué.

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C'est un très très bon sujet, mais cependant pour les plus jeunes comme moi, difficile pour moi d'y participer ayant connu que les divisions amateurs.

Même si grâce à mon père, aux vidéos ou même le forum, j'en sais un peu plus mais c'est pas du tout pareil, j'ai jamais vécu à la "grande" époque Sporting...

Si je vous fait mon top 5, ça sera pas du tout la même :lol:

1) Lemoigne

2) Andréani

3) Soulas

4) Tony Labate ( oui oui :lol: )

5) Zemzemi, Fall, Gimenez

je rajoute aussi mon 6ème et 7ème:

6) Billici

7) Flauto

Donc voila quoi lol

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Putain, je ne suis pas le seul à citer John Lammers! J'hallucine!!!

je me souviens bien de lui,mais bon c'etait 6 buts dans la saison...

il y a eu comme gardien pendant 2 ans de 86 à 88 jean pierre Mottet venant de lille,pas trés grand physiquement ,mais rassurant dans les buts.

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Calou, tu as au moins connu Lemoigne, c'est déjà ça !

Lammers c'est plutôt 6 buts en 2 saisons non ? Grosse activité et envie, mais quelle inefficacité !.

Jean-Pierre Mottet a eu un gros bug en azur et or, c'est de ne pas avoir arrêté 1 péno su 11 et manqué le sien contre Sète.

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Clair! Je m'en rappelle comme si c'était hier de cette séance interminable contre Sète. J'étais avec mon père en "Ailerons" à Mayol et le TAB qu'il avait tiré était vraiment pourri.

Mon père avec qui, d'ailleurs, Lammers était un sujet de discorde puisque lui le trouvait nul et mois très bon (même s'il manquait d'efficacité certes, mais il se battait beaucoup pour Fargeon qui claquait). D'ailleurs, précisons que Lammers n'était arrivé à Toulon que par défaut puisque Courbis voulait faire signer Bosman (qui formait un des meilleurs duos d'attaque d'Europe à l'Ajax avec Vant'ship...et qui ne signa jamais) puis Bursac (qui signa finalement la saison suivante).

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Excellent sujet mais il va me falloir des semaines de réflexion pour faire mes Top 5 !

Juste une chose : il s'agit de Thierry Pister et non Pfister, vous devez confondre avec le sponsor rennais de l'époque : Pfizer ! (à noter que j'ai réussi à ne pas faire d'allusion à la célèbre Fistinière)

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