Je vous lis les gars, là est l'essentiel.
Moi ce qui m'intéresse c'est parler ballon ; après s'il faut polémiquer, ça ne me gêne pas (j'ai failli rajouter "au contraire").
Mais je préfère me taire tant que je ne vais plus au stade. Parler du sportif; du jeu et des joueurs sans aller à BR, pas pour moi. Taper sur les dirigeants ... c'est lassant ... fatigant de répéter des vérités criantes et inécoutées.
J'ai arrêté mi saison 2011-2012, soit une saison et demie, quand, par le biais de Luigi et Jean-Claude j'ai proposé bénévolement mes services pour intégrer la cellule financière. Gérer un budget, c'est quand même mon dada. Joye une fois par mail, Parisot deux fois par téléphone et une fois en face à face ... ont botté en touche ... J'ai bien compris que la reconstruction c'était : "on change quelques tuiles, même quelques bonnes, mais la charpente vermoulue et emplie de capricornes, on la touche pas".
L'union sacrée, le sang neuf ... ç'allait être l'oignon sacré, le sang contaminé ...
Déjà deux échecs, un troisième est en train de poindre ...
Alors certes, le profil du nouvel entraîneur "semble" le bon, mais sans bases, sans direction et sans tous les matériaux en mains, on ne construit pas ... on masque, on rafistole, on fait de jolies choses mais momentanément ... on joue aux "Kapla" ...
Et là, Saïdani peut savoir faire une Tour Eiffel en Kapla, à chaque fois qu'il arrivera au premier étage, le vent de l'incompétence soufflera trop pour qu'elle ne tienne. Incongruité.
Comme j'ai pas de solutions, je me tais et je lis. J'entretiens mon amour pour le Sporting comme je regarderai de loin une femme qu'on m'a volé et qui n'est plus aussi attirante dans les mains des autres ... mais que j'aime toujours. Et qui, j'en reste persuadé (ou je m'en persuade subjectivement), redeviendra comme avant.
Mais que cet avant devient de plus en plus lointain !